Hier, j'étais en train de travailler/légumer/skyper dans ma chambre quand mon colocataire, George, m'a proposé d'être son assistante sur un shooting. Bien sûr, j'ai dit oui.
Nous voilà donc partis pour Madison Avenue où nous sommes censés faire des photos très "corporate". On débarque dans une petite agence de relations publiques. La boss, blonde-sexy-la-quarantaine, nous accueille tout sourire. On installe le matos et on teste la lumière. Je suis nommée "modèle-testeuse".
Nous voilà donc partis pour Madison Avenue où nous sommes censés faire des photos très "corporate". On débarque dans une petite agence de relations publiques. La boss, blonde-sexy-la-quarantaine, nous accueille tout sourire. On installe le matos et on teste la lumière. Je suis nommée "modèle-testeuse".
Les tests :



Puis, on commence à faire des portraits des employés. Vu mes connaissances très basiques en la matière, je suis nommée "porteuse de réflecteur en chef".
Le dernier portrait est le plus important : c'est celui de la boss. Elle exige une photo "powerful". Elle est le parfait cliché de la réussite féminine américaine. Je la verrais très bien en héroïne de Sex and the city, Cashmere Mafia ou Lipstick Jungle. Et comme toujours dans ces séries, travail rime avec vie perso. Elle demande à George des "sexy pictures", elle veut les offrir à son mari pour Noël.
Du shooting corporate au shooting de cul, il n'y a qu'un pas.
Le dernier portrait est le plus important : c'est celui de la boss. Elle exige une photo "powerful". Elle est le parfait cliché de la réussite féminine américaine. Je la verrais très bien en héroïne de Sex and the city, Cashmere Mafia ou Lipstick Jungle. Et comme toujours dans ces séries, travail rime avec vie perso. Elle demande à George des "sexy pictures", elle veut les offrir à son mari pour Noël.
Du shooting corporate au shooting de cul, il n'y a qu'un pas.