samedi 11 juillet 2009

Confession d'une bourée

En général, un post = une faute d'orthographe que je qualifierais de "coquille" ou "faute frappe" si j'ai envie d'être indulgente avec ma petite personne.
Si celui-ci en contient plus, soyez coolos, j'étais à un barbecue, euh pardon..."bbq".




J'ai du mal à comprendre ma haine latente pour le bbq. Je me dis que je suis mauvais esprit. Ce melting pot d'invités, Brooklyn, un jardin délabré pseudo-graff compris sur les murs, des gens ivres ; ce joyeux mélange devrait me plaire, ou au moins m'amuser.

Rien à faire, l'art du bbq, autrement dit, cette fourmilière qui s'agite autour de trois steaks, me dépasse. Le bbq, c'est dégueulasse, ça laisse des traces et nous voilà, jetant des tonnes et des tonnes de bouf, d'assiettes en carton et de gobelets en plastique. Je suis pourtant quelqu'un de plutôt excessif mais face à l'excès de l'excès, sérieusement, j'ai envie de fuir.

Ceci n'est PAS un discours écologiste mais une diatribe contre le dégoût, le dégoût face à l'amoncellement de tous ces lipides et protéines, qu'ils partent dans les estomacs ou dans les poubelles n'est pas ma préoccupation première.

Désolée pour le non-politiquement correct -en fait je ne suis pas désolée, je me tape de paraître correcte-.

Bonne nuit, je vais potentiellement vomir, j'écrirai des choses plus intéressantes je l'espère dans les jours qui viennent.

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